mardi 8 juillet 2008

plein de musique pour les vacances

Bientôt les vacances, La semaine prochaine. Dans le Sud, au soleil et à la mer.
J'ai déjà glissé dans le disque dur de mon ordinateur portable quelques albums récents, certains pas encore écoutés.
Lesquels ?
- Laurent Voulzy - Recollection
(y'a de l'or en Voulzy)
- Coldqlay - Viva la vida, or death and all his friends
(assez surprenant. Pas mon préféré, mais c'est bien du Coldplay).
- Jay sean - my own way
(L'album RïB le plus top depuis Justin Timberlake)
- Cocoon - my friends all died in a plane crash
(tout simplement beau et émouvant. Un moment de douceur.
- Raphael - je sais que la terre est platte
(Je ne m'en passe ni ne m'en lasse depuis qu'il est sorti).
- Duffy - roakferry
(de la soul avec un très grand s)
- Leona Lewis - spirit
- Liane Foly - le goût du désir
Et à découvrir :
- Maxime le forestier - restons amants
(Non, Maxime, j'y tiens pas, tu sais. ;-))
- Christophe - aimer ce que nous sommes
(Et oui, le Christophe de la Dolce Vita est est de retour).
- Portishead - third
- Kid Rock - rock n roll Jesus
- Jesse Mccartney - departure
si j'en oublie, j'ai bien le temps d'en ajouter.
Vos avis, conseils et commentaires sont les bienvenus !
Bonne écoute.

lundi 16 juin 2008

Des lieux chargés d'histoire

J'ai toujours aimé visiter des lieux sur lesquels est passé le souffle de l'histoire.
Parmis ceux qui m'ont marqués, il y a les plages du débarnuement de 1944 en Normandie. Mais surtout, la citadelle de Verdun, une plongée au coeur des combats et de la vie des poilus de la "grande guerre".
La semaine dernière, j'étais pour quelques jours en tourraine.
J'y ai visité le petit château de Cheverny, presque une demeure familiale. Le capitaine Haddock n'y était pas, hélas. Tonnerre, j'aurais bien bu un bon whisky en sa compagnie. ;-)
Et oui, c'est Cheverny qui servit de modèle à Hergé pour le château de Moulinsart.
Question : quel est le château de la Loire le plus visité?
Amboise? Celui-là, j'y suis allé aussi mais, sauf pour sa tour cavalière, il ne me laissera pas un grand souvenir. Il en reste peu de choses, en fait.
Et non, le château de la Loire le plus visité, c'est celui de Chenonceau. Le mieux conservé, le mieux entretenu. Sans doute le seul chateau historique qui n'ait pas souffert de destructions. Un endroit agréable, fait pour y vivre, aéré, ensoleillé. On l'appelle le chateau des dames.
Un potager, des jardins magnifiques. Et un guide de prestige pour vous conter l'histoire et le contenu du chateau dans tous ses détails, au son d'une musique fort à propos : Michael Longsdale. Sa voix, bien sûr. Petite parenthèse : je préfère cette solution de guide pré-enregistré que l'onn écoute avec des oreillettes plutôt qu'un guide classique. Les descriptions du guide enregistré sont plus précises. Mais surtout, c'est plus agréable à écouter; le guide classique étant souvent obligé de s'égosiller pour couvrir le bruit ambiant. Fin de la parenthèse.
Chenoodceau, c'est la demeure préférée de Diane de Poitiers, favorite d'Henri II et de Catherine de Médicis, son épouse qui devint régente, qui y fit construire une gallerie enjembant le Cher (une grande prouesse technique et dont le cabinet de travail, dit "cabinet vert" fut sans doute le théâtre de décisions capitales pour l'avenir de la france.
Chenooceau fut aussi la demeure de Louise-Marie Dupin qui y reçut tout ce que la seconde partie du XVIIIe siècle comptait d'esprits lumineux : Voltaire, Rousseau, Diderot pour ne citer que les plus célèbres.
Enfin, pendant la seconde guerre mondiale, Chenonceau devin un lieu de résistance et servit d'hôpital.
Et c'est aussi à Chenonceau que Ronsard y rencontra Cassandre Salviati, la "mignonne".
Je suis allé aussi au château de Blois, ce 4 châteaux en un, une histoire de l'architecture des chateaux à lui tout seul. Dans la partie médiévale, il reste la grand-salle dans laquelle Henri III convoqua les Etats-Générux en 1588. Mais c'est dans l'"aile François 1er" que se trouve sa chambre, là où il fit assassiner le duc de Guise.
Un bon sujet en perspective pour un prochain article. ;-)
Il faudra aussi que je vous parle d'un certain Leonardo et du manoir où il vécut les trois dernières années de sa vie. Le Clos Lucé, c'est la visite qui m'a le plus marqué de ces quelques jours en terrre de Loire, un endroit où il fait bon vivre.

Et vous, vous est-il arrivé de vititer des lieux chargés d'histoire ? Lesquels ?

jeudi 22 mai 2008

expériences musicales

Le 7 mai dernier, et ce pour la deuxième fois de la saison et aussi de ma vie, j'étais à l'Opéra Bastille.
Je peux le dire, j'ai attrapé le virus! Rien ne remplace l'émotion du vrai, du direct, les vibrations des instruments de l'orchestre, le souffle, la puissance des chanteurs, la communion des émotions partagées...
J'aime cette salle. Son accoustique est excellente. Et les fauteuils du premier rang devant l'orchestre, là où j'étais placé sont confortables.

Pour la première fois, c'était
Tosca de Puccini
Mon opéra préféré, rien que ça! Quand j'entends Mario chanter "e lucevan le stelle", ou Tosca dans "visi d'arte", je craque! J'aime la constance, la progression dramatique de cet opéra, dont le cri tragique de Tosca est l'apogé. J'aime le courage de tosca, son amour absolu et jaloux pour Mario.
Quelle magnifique et innoublible soirée. La direction d'orchestre, très contrastée, faisait ressortir à merveille les moments forts de l'oeuvre.

Pour la seconde fois, le 7 mai dernier donc, c'était
Le barbier de Séville de Rossini.
Tout à fait autre chose. On se serait presque cru au théâtre. C'était vivant, on riait souvent dans dans la salle.
Un chef d'orchestre (Marc Piollet) très dynamique et de très bons chanteurs.
Une mise en scène originale de Coline Serreau qui, soulignait le fait que Rosine est maintenue enfermée par Bartholo et situait l'action dans un pays oriental. Le premier tableau se déruulait dans un désert. La fin, dans un oasis avec des palmiers.

J'ai entendu, mardi dernier, le début du même opéra sur la chaîne Mezzo. Mais c'était bien terne, sant vie.
Si vous êtes amoureux de la musique classique, de la danse, de l'opéra, je vous conseille
la chaîne de télé Mezzo
Dernièrement, on a pu y voir un magnifique "rigoletto" de Verdi avec Pavarotti.
Lundi, c'était les 5 concerti pour piano de Beethoven, dirrigés et interprétés au piano par Danier Barenboïm. Un bel exploit, certes, mais rien de remarquable musicalement et surtout, un programme trop long (presque 4 heures). Non, rien de la finesse et de la sensibilité romantique d'Alfred Brendel, ou de la puissante sauvagerie presque féline de Martha Argerich qui sait faire gronder ou chanter un piano comme personne d'autre et nous entraîne avec elle.
Demain soir, je ne raterai pour rien au monde le concerto pour piano de Schumann avec au piano, Martha, justement!

Quant à l'opéra, sûr, j'y retournerai!
La saison 2008-2009
s'annonce riche.
Qu'est-ce qui vous tenterait dans ce programme?

dimanche 20 avril 2008

Deux lectures

Tout récemment, j'ai lu deux livres qui, même s'ils sont fort différents l'un de l'autre, ont un point commun de taille : ce sont de bons romans.

C'est quoi, un bon roman ?
C'est un livre qu'on lit pour se faire plaisir et s'évader un peu. Un livre qui, une fois qu'on l'a ouvert donne envie de ne plus le lâcher avant qu'on ne l'ait fini mais qui laisse une impression de vide une fois qu'on l'a fini.


Le premier, c'est "le coeur des flammes" de Nicholas Evans.
De cet auteur, j'avais adoré l'émotion intense de "l'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux". Mais aussi le plus grave et dramatique "cercle des loups".
Celui-ci est un roman d'aventures. Fort et imprévisible, comme ses précédents romans. Il aurait pu l'appeler "les flammes du coeur".
J'y ai fais connaissance avec le travail de parachutiste du feu et avec une région des Etats-Unis, le Montana dont j'ai aimé la description des paysages.
A lire!

Le deuxième, c'est la série "la dame sans terre" de Adréa H Japp, dont j'ai lu les trois premiers volumes d'une traite.
Cette fois, il s'agit d'un roman historique qui se déroule au début du 14ème siècle, dans la région de Perche, en Normandie. J'y ai appris beauczp sur la vie dans les couvents, le rôle qu'ils jouaient dans la société, surtout pour les femmes pour lesquels ils représentaiont l'ultime refuge et la seule possibilité d'exercer leurs talents et d'avoir une réelle fonction; sur l'Ordre des Chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem (appelé Hospitalier, aujourd'hui ordre de Malte); sur la procédure de l'inquisition médiévale...
Un livre très bien documenté, une intrigue bien construite, un suspense soutenu.

dimanche 13 avril 2008

Coup de coeur

Beau coup de coeur pour
Jeff BBuckley
Et son album, malheureusement et à jamais unique
Grace
Indubitablement, Bucley est influencé par les Doors et Jim Morrison. Maiss aussi, et c'est cela qui me plaît, par Led Zeppelin, King Crimson et un quelque chose de Genesis (première et seconde époques) et de Simon and Garfunkel. Les mélodies, les arrangements sont soignés. La voix dégage de l'émotion, de la ferveur. Elle m'a fait penser un peu à Freddie Mercury.
Bien que j'aie appris plus tard qu'il s'aggissait d'une reprise, c'est avec
hallelujah
que je l'ai découvert. Et grâce à l'émission "la nouvelle star" de M6.
Que Grâces soient rendues à Jeff !

mardi 1 avril 2008

Masque

A huit ans, mes parents m'avaient offert un livre qui s'appelait "belles histoires de France" qui racontait, de manière très simplifiée les épisodes remarquables de l'histoire de France, des Gaulois à la seconde guerre mondiale.
C'est de là que j'ai acquis et gardé la passion de l'histoire, avec ou sans h majuscule.

L'histoire de
l'homme au masque de fer
m'a toujours intrigué et enflamme mon imagination.
Qui était donc cet homme que Louis 14 fit tenir au secret le plus absolu au point que nul autre que son geôlier ne pouvait l'approcher et qui devait être masqué affin que personne ne puisse le reconnaître ? Pourquoi le roi, qui n'en n'était pas à un crime près, ne le fit-il pas tuer et exigea-t-il que le prisonnier fût traité avec tous les égards ?

Aujourd'hui, le mystère perdure toujours.
La thèse la plus communément admise, reprise entre autre dans "le Vicomte de Bragellone" d'Alexandre Dumas, est que le prisonnier serait le frère jumeau du roi et que, si Louis l'aurait fait emprisonner, c'est parce qu'il aurait été mis à la tête d'un complot contre lui.

Pour beaucoup de raison, cette thèse ne m'a jamais convaincu.
Tout d'abord, comment, à une époque où les reines de France accouchaient en public, aurait-on pu cacher et aussi longtemps la naissance d'un frère jumeau ?
Ensuite, pourquoi le cacher ? Uniquement par peur d'un conflit entre les deux frères et d'un problème de succession ? Raison bien mince, je trouve, dès le moment où l'aîné était bien reconnu.
Enfin, pourquoi Louis 14, quan il appris l'existence de ce frère et le risque qu'il faisait courir à son règne ne s'en débarrassa-t-il pas ?

D'après vous, d'après vos connaissances, votre intuition ou votre imagination délirante et galoppante, qui était l'homme au masque de fer ?

Pour moi, d'aprvès, entre autre, la lecture de "secret d'état" de Juliette Benzoni, l'homme au masque de fer était le père biologique de Louis 14.
Loouis 13, après la mort de Henri 4, devint roi à l'âge de 9 ans, sous la tutelle malveillante de sa mère, Marie de Médicis et des époux Concini qu'il fit assassiner en 1617. Il épousa de force Anne d'Autriche (les espagnols étaient les ennemis jurés de son père) à l'âge de 14 ans, en 1615.
En 1637, la France n'avait toujours pas de successeur au trône. Louis avait un "bloquage" avec Anne. L'absence d'un héritier était devenu le tujet politique numéro 1 de l'époque. Aussi, l'entourage de la reine, avec la bénédiction de Richelieu, décida-t-il d'introduire un "étalon reproducteur". Un étalon de sang rroyal, bien sûr. Parmi la nombreuse lignée illégitime d'Henri 4, il ne fut pas difficile d'en dénicher un qui plairait à la reine et remplirait ce rôle : François duc de Beaufort. Ce fut fait et la reine tomba enceinte.
Le duc s'en vanta plus tard, auprè du jeune Louis 14 et lui en apporta la preuve. Mais le roi ne pouvait prendre le risque que cette révélation s'ébruite, ce qui aurait produit un scandale tel que les fondements même de la monarchie en eûssent été ébranlés. Beaufort n'était pas fiable puisqu'il avait été un des chefs de la Fronde, cette révolte menée par de hauts seigneurs contre Mazarin et le pouvrir royal. Aussi, le fit-il emprisonner dans les conditions que l'on connaît.
Pourquoi ne le fit-il pas tuer ? Par scrupule, d'abord. C'était son père. Ensuite, par honneur. Il avait envoyé le duc diriger une mission militaire marine quasi-suicidaire, pensant qu'il ne reviendrai pas. Mais le duc réussit cette mission et revint...

dimanche 16 mars 2008

Dauphin

J'ai toujours eu beaucoup de tendresse pour cet /animal doué de raison", comme le qualifie Robert Merle, dans son
livre
que je vous recommande et dont les personnages principaux sont des dauphins.
Sûr que j'en ai été un dans ne vie antérieure.
Ils sont fondamentalement bons, vifs, adroits, forts es joueurs.
Cette histoire qui suit, que je viens de lire m'a touceé, intéressé.
Moko, le dauphin secouriste.
Laurent Suply (lefigaro.fr) avec AFP et BBC.
Attraction locale d'une plage de Nouvelle-Zélande, ce dauphin a sauvé deux cachalots d'une mort certaine.
La plage de Mahia, en Nouvelle-Zélande, a un habitant original. Moko est une femelle dauphin, qui y a élu domicile depuis le printemps dernier. Elle y passe ses journées à jouer avec les baigneurs et à pousser du nez leurs bouées
et kayaks.
Mais en début de semaine, un drame s'est joué dans cette crique paradisiaque.
Deux cachalots pygmées, d'une espèce dont la taille varie entre 2 et 4 mètres, s'y sont retrouvés piégés, incapables de trouver leur chemin parmi les bancs de sable pour en sortir. Ils se sont échoués à plusieurs reprises sur le sable, jusqu'à ce qu'un riverain alerte Malcom Smith, responsable local de la faune marine.
Ce dernier, aidé de plusieurs personnes, se jette à l'eau et tente de guider les cétacés en perdition vers la sortie. Mais en vain : les cachalots sont trop stressés et désorientés. Trempés et épuisés après une heure et demie d'efforts, les sauveteurs jettent l'éponge, et se préparent à la dernière extrémité : euthanasier les animaux.
C'est alors que Moko entre en scène. Le dauphin s'approche de ses deux congénères et semble établir un contact. «Il s'est visiblement passé quelque chose entre eux, car les cachalots ont aussitôt changé d'attitude», raconte Malcom Smith à la BBC. Les odontocètes se mettent en effet à suivre Moko de bonne grâce, sans paniquer. «Elle les a guidés parallèlement à la plage sur environ 200 mètres jusqu'à la pointe du banc de sable. Ensuite, elle a fait un crochet dans un étroit chenal et les a escortés vers la mer et nous n'avons plus revu les cachalots depuis», se réjouit Malcom Smith. En revanche, Moko a
aussitôt repris ses activités habituelles.
Moko a-t-elle réussi à «parler» à des représentants d'une autre espèce de mammifères marins ? Ou les cachalots se sont-ils contentés de suivre un animal plus engageant que ces bipèdes qui se pressaient autour d'eux jusque là ? Les communications inter-espèces sont encore largement méconnues et controversées.
Un aperçu de ce que Moko a pu dire aux cachalots sur cette vidéo tournée sur
la plage de Mahia :
http://www.lefigaro.fr/sciences/2008/03/13/01008-20080313ARTFIG00626-moko-le-dauphin-secouriste.p

mercredi 12 mars 2008

collée

Un truc qui m'colle encore, encore et encore...
En ce moment, j'ai, dans la tête
cette chanson

P.S.: Dans la fenêtre qui s'ouvrira quand vous aurez cliqué sur le lien, choisissez d'ouvrir plutôt que d'enregistrer. Lien disponnible jusqu'au 28 mars.

mardi 11 mars 2008

Tenté

Je me laisserais bien tenté par un serveur NAS...

C'est quoi ? Me demanderez-vous, chers lecteurs et vous, belles lectrices ?

Un serveur NAS es un système qui permet de mettre des périphériques de stockage (disques durs, clés USB) sur votre réseau, sans que ces périphériques soient connectés physiquement à un ordinateur.
On appelle ça aussi un serveur de fichier. C'est plus parlant.
Physiquement, c'est un boîtier dans lequel, selon les modèles, on va pouvoir installer un, voir deux disques durs internes ou externes, si le modèle dispose de ports USB. On connecte ce boîtier au routeur, certains sont même wi-fi.
Avec ça, tous les ordinateurs de la maison, tout ce qui peut se connecter au réseau (i-pods, chaînes hi-fi) peuvent utiliser tout ce qui peut se convertir en bits sans qu'il soit besoin de déplacer disques durs externes ou clés USB.

ça y est, je vois bien que j'ai piqué votre curiosité sensible.
Alors, pour en savoir plus
allez faire un tour ici

dimanche 9 mars 2008

A chaud

La soirée des victoires de la musique vient juste de se terminer. J'ai raté les premières minutes, mais voici, à chaud mes commentaires, mais seulement ce que j'ai
aimé... ou presqve.
Dans l'ensemble, ça a été une belle soirée. On a entendu un peu de tout, c'était varié.
Naguy, Un animateur qui n'a pas de voix... Faut le faire !
Christophe Willem : J'ai adoré l'arrangement oriental de "double jeu". Isa, apporte-moi un darbaké, je t'en jouerai, promi ! Quand j'entends ces percus, je suis tout fou, toufou toufou !
Diam's : Quel souffle ! Avec, à un moment donné, dans "ma France à moi", un sample de Justin Timberlake (what goes around). Mais si seulement elle pouvait perdre cet accent.
Fatal bazouka - Intéressant, surprenant, rigolo, ce medqley.
Ôael naim - (album world) j'aime pas l'album, mais j'adore jouer l'accompagnement de "new soul" au piano !
Vanessa Paradis chantant "syracuse : émouvant, classe, sensuel.
Thomas Dutqon - rock'n'roll!!!
Renan Luce album révélation - Conten! Il le mérite. Le retour de la chanson française.
Renan Luce pour l'artiste de scène : ok, ok. N'attrape pas la grosse tête, Renan.
Michel Polnaref : Il a la victoire du concert et il est même pas fichu e'être là. C'est nul. J'aime sa musique, je n'aime pas ce type prétentieux, irrrespectueux du public qui ne méritait pas cette victoire.
Solaar - Sobre, bien ! Il a la victtoire "musique urbaine". Heureux ! Méritée.
Musique electro - Justice, j'aime bien. Bon son, original. Mais j'aurais préféré mille fois Wax Taylor que j'adore (et oui, Paz, c'est léché, je sais) nommés.
Akbum po-rock - Etienne Daho, pas encore écouté.
Hocup pocus - Je ne connaissaais pas. J'aime!!
Hommage à Fred Chichin des rita Mitsouko - Un meddley tout en guitares (15 guitaristes sur scène) qui déchirent! Excellent. Fred a dû l'entendre de son pardis.
Christophe Maé - Waou! Quelle pêche, quelle prestation ! Je l'adore. ça fait du bien.
Album variété : Vanessa Paradis. Cool.
Abde-el-malik - Faite-moi penser d'écouter l'album. C'est beau.
Artitte féminine - Vanessa. Et de 2! :-) C'est bien, je l'aurai choisie face aux autres.
Artitte masculin - Abd-el-malik. Bon... Faut vraiment que vous me fassiez penser à l'écouter.
Chanson originale - Christophe Willem, pas de surprise, d'autant que c'était le public qui choisissait. Et ça tombe bien parce que j'adore! Merci Zazie.
A vous de commenter/complùter, maintenant.

samedi 8 mars 2008

Bernard W

Dring... dring...
Ah, bonjour Bernard ! Dis, tu en as mis, du temps. Tu t'es perdu en route ?
Bon, installe-toi confortablement, mets-toi à l'aise. Tu veux un thé à la menthe ?
Tu sais, j'ai lu "le mystère des dieux".
J'ai été déçu.
Dommage, parce que, au début, j'aimais bien l'histoire et je me disais que tu avais retrouvé un nouveau souffle d'inspiration.
C'est après que je n'ai pas aimé. On va pas révéler l'histoire, hein ?
La fin ? D'abord, je lai truuvé bâclée et tu l'allourdis de dialogues innutiles. Ensuite, elle est un peu prévisible et j'ai déjà lu ça ailleurs. Mais pas bête, l'idée, j'avoue.
Les personnages : Ton Aphrondite n'est pas crédible. Ta Delphine, pas marrante. As-tu remarqué que tu ne la fait jamais rire ?
Michael, il n'a aucune envergure, il est mauvais joueur (j'aime pas) et il ne sait pas se hisser à ce qu'il devient.
Heureusement, il y a Edmond, plein de ressovrces, qui sait tant de choses et Raoul, réaliste. J'aime bien Oodippe, aussi.
Et ton Hadès me plaît : je suis d'accord que l'homme construit, entretient, se complaît dans son propre malheur et s'inflige lui-même son propre enfer et ses propres tortures par la culpabilité. Même si quand même, la culpabilité permet d'avancer parfois.
J'ai bien aimé l'encyclopédie : articles variés, courts, concis.
J'ai adoré les 2 premiers tomes des Fourmis et aussi les Thanatonautes. Pour tes prochains livres, j'aimerais bien que tu abandonnes cette philosophie à deux balles des Dieux et que tu reviennes à quelque chose de plus scientifique, comme dans les Fourmis, avec en plus une vraie histoire.
Allez, prends un morceau de ce gâteau au fromage blanc.

mardi 4 mars 2008

La quête

Chez Isa
, j'ai écris ceci que je complète :
Je rêve :
De grands espaces infinis, de forêts, de plages, de déserts et de m'y perdre, de me sentir seul et tout petit au milieu ce ces immensités.
De refaire le voyage d'Ulysse sur une nef rapide d'époque, le tour du monde sur un voilier, un périple dans le Grand Nord avec des chiens de traîneau ; de sauter en parachute d'un avion ; de faire du rafting.
De piloter un avion comme ceux de Mermoze ou de Saint-Ex ou un Airbus ; une moto, une voiture de sport lancée à pleine puissance, un ULM.

D'aller en Chine, au Mexique, en Inde, à Dubaï, à New-York, en Afrique.... Retourner au Canada.

De savoir écrire des histoires qui captiveraient les lecteurs ; de composer des musiques belles à pleurer ou à rendre fou de joie.

D'acheter et de me remettre sérieusement à la batterie et de mnter un groupe ; d'apprendre la guitare ; d'accompagner Phil Collins à la batterie ; de jouer le concerto de Tchaikovsky ou la Symphonie du Nouveau Monde de Dvorak au piano ; de faire le tour du monde des grandes salles d'opéra ; d'avoir une installatio hi-fi de marque Triangle quadriphonique dans mon salon en parquet.
Qu'il n'y ait plus de handicapés, de malades, de souffrances ni de personnes manquant de quoi que ce soit ; que chacun se sente utile dans ce monde et puisse exprimer ses talents ; que soient abolies religions, races, frontières, sources de guerres.
De voler comme un oiseau, de nager comme un dauphin au milieu d'une mer d'huile ou d'un océan déchaîné en riant aux éclats ; de me téléporter partout où je voudrais quand je voudrais rien qu'en pensant à l'endroit où j'aimerais être.
D'un monde plus roomantique, artistique, moins raisonnable, moins fabriqué, trié, classé, expliqué, légiféré, rangé dans de belles petites boîtes.
Et enfin, je rêve d'un bel amour de chaque instant qui ne se nourrirait que de la présence de l'autre ; de m'endormir dans les bras de la femme que j'aimerais
et de m'éveiller le premier en la serrant dans les miens... De réaliser nos rêves ensekble.

vendredi 29 février 2008

le vent et ses sept couleurs

Vive le vent quand il inspire les écrivains !
Déjà, rien que le titre : "les 7 couleurs du vent", je trouve ça très poétique.
L'écrivain, c'est Bernard TIRTIAUX.
C'est un livre pas très long, qui simplement, ne se lâche plus une fois qu'on a embarnué dans cette tempête.
C'est l'histoire d'amours blessées et de la folie sublime et belle d'un homme qui veut répandre un chant d'amour de musique d'orgues géantes pour endiguer la folie meurtrière de son semps. Son temps, c'est celui de la \t-Barthélémy, si riche aussi de découvertes, d'idées et de pensées nouvelles.
Ce livre est magnifique et bouleversant. Il mérite 5 étoiles, à défaut de pouvoir en mettre 7 !

mercredi 27 février 2008

plage cachée

Ne vous est-il jamais arrivé de sortir un CD du lecteur croyant que ce dernier est terminé, mais que si vous ne touchez pas au lecteur, au bout d'une ou deux minutes de blanc, y'a encore de la musique? J'appelle ça une plage cachée.
Et
celle-ci
est une petite merveille de mélodie, pleine de retenue. J'adore le son de ce piano et la manière dont il en joue. pas vous?


P.S.: La cible du lien ne sera plus disponnible à partir du 4 mars.

mardi 26 février 2008

Et d'une

Dune de Frank Hrbert... Je viens de terminer la lecture du premier volet d'une série qui en compte 6.
Avant de le commencer, je savais que c'est une référence du genre science-fiction des années 70.
Je savais aussi que j'y rencontrerais des vers géants et des tempêtes dévastatrices. Je n'ai pas été déçu. Vers et tempêtes jouent kn rôle important.
J'avais aussi entendu citer cette phrase : "je ne connaitrai pas la peur, car la peur tue l'esprit...".
Je n'ai aimé que très moyennement ce livre qui, finalement, ne se résume qu'à une guerre de famille, De "Maisons", pour reprendre le terme du livre.
Par moments, j'ai trouvé l'écriture froide. L'auteur n'a pas réussi à m'attacher aux personnages, mis à part les Fremens, peuple qui porte bien son nom.
J'ai trouvé qu'il n'y a pas de véritable suspens, ni surprises ni rebondissements. Enfin, quelque chose qui m'a vraiment déplu, c'est que presque tous les dialogues sont entrecoupés par des "et untel pensa ceci; et unetelle se dit cela". Enfin, trop de mysticisme dans cette histoire.
Je n'ai pas pu m'empêcher de faire des paralèles avec Ender de Orson Scott Card que je n'ai pas trop aimé non plus.
Point positif quand même : le monde de Dune, la vie sur Dune, la manière dont les Fremens, ses principaux habitants y survivent et s'organisent m'a plu.
Vous l'avez lu, Dune? Qu'en pensez-vous?

mercredi 20 février 2008

La fin d'un livre

Parmis le top 10 de mes lectures en 2007, il y a "l'élégance du hérisson" de Muriel Barbery. Mais la fin de ce livre m'a tellement déçu que, sans aucune prétention et pour mon simple plaisir, j'ai décidé un jour de la récrire.
Si vous n'avez pas encore lu ce livre sité plus haut, ne lisez pas ce qui suit. Revenez lire cet article quand vous l'aurez lu.
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Dernière pensée profonde.
Face à Demain
Il faut chercher Espoir
Toujours


Ce matin, Madame Michel a été renversée par une camionnette de pressing.
J'ai du mal à écrire ceci.
C'est Kakouro qui m'a appris la nouvelle. Bernard, son secrétaire qui
remontait la rue à ce moment-là a vu l'accident et l'a prévenu. Il est
arrivé aussi vite qu'il a pu.
Donc, Gégène, le clochard de la rue du Bac, qui était rond comme une
barrique, s'était précipité sur la route. Madame Michel a couru après lui
pour le retenir. Madame Michel n'a pas vu la camionnette, mais sa
conductrice a pu l'éviter de justesse, sans empêcher de la frôler, ce qui
l'a renversée. Mais elle n'a pas pu éviter Gégène qui s'était jeté dans sa
trajectoire. Il est mort sur le coup, m'a dit Kakuro. Madame Michel a été
transportée à l'hôpital, dans le coma.
Kakuro a exigé les meilleurs soins pour elle. Elle est dans un service
spécialisé de réanimation et de multitraumatismes. Les docteurs ne peuvent
rien dire pour l'instant. Mais il paraît que le choc a été violent, la
camionnette devait rouler trop vite.

Renée, il faut que vous revenez parmis nous. Au moment où la vie s'ouvre à
vous, ne la fuyez pas.
J'ai décidé que je ne me suiciderai pas. Et que je soignerai les autres,
telle est ma Voie. Je suis contente d'avoir décidé cela.

Je n'ai rien pu faire d'autre qu'attendre, seule, sur mon lit. Maman a
frappé à la porte plsieurs fois, mais je lui ai dit non et elle est partie.
Et pour une fois, mon idiote de soeur m'a fichu la paix.
Le soir, Kakuro est revenu. Je l'ai entendu parler avec maman puis il est
entré sans frapper, s'est approché de moi et m'a dit :
"Viens avec moi. J'ai
besoin de prendre l'air".
Nous sommes sootis dans la cour de l'immeuble.
J'entendais les douces notes de quelqu'un qui jouait du piano, je sentais le
soleil carresser mes joues, le vent qui jouait avec mes cheveux. Je sentais
l'odeur pénétrante, un peu sucrée de fleurs que je n'ai pas reconnues. Je me
suis sentie bien, l'instant était magique.
Alors, je me suis dit qu'il fallait traquer, rechercher, chérir et garder en soi comme des trésors
précieux ces moments si rares et faits de petits riens comme d'entendre un
piano et de sentir le soleil sur son visage et un parfum qui vous pénètre. Ces
moments merveilleux dans l'absurdité, l'injustice et la laideur de la vie.
"Renée va guérir, si tu y crois", a dit Kakuro.
Je savais qu'il avait raison. Alors j'ai cru....
J'ai compris qu'il faut croire tant qu'on le peut. Qu'il suffit pour cela de sentir le soleil sur ses joues et de trouver ça magique....



Renée:
From: rene.michel@...
To: paloma@...
On: thu ... 07:30
Paloma, ma belle âme soeur.
Nous sommes arrivés hier soir à Saint-Pétersbourg, Kakuro et moi,
par le train de Moscou. Kakuro tenait au train, à cause de Lev Nikolaïevitch
qui fit souvent ce trajet. Demain, nous irons à l'Hermittage, puis nous
louerons une voiture tout-terrains à la recherche des lieux où le divin Leon situa les décors de Guerre et Paix.
Mes jambes me font parfois souffrir. Les médecins m'assurent que cela passera.
J'ai du mal à marcher. Mais Kakuro me porrte partout, il dit que je suis
plus légère qu'un cocon de vers à soie, ce qui est sûrement vrai. Cela n'a pas d'importance : il est avec moi, nous sommes toujours ensemble, il nous fait vivre un rêve dont je sais que je ne m'éveillerai plus.
Quelquefois, je regrette bien de ne plus voir. C'est difficile. Mais j'apprends, petit à petit. Kakuro me fait souvent la lecture et me décrit ce qu'il voit.
Parfois, je lui demande ce que je lui apporte. Il me dit :
"Tout ce que tu sais, tout ce que tu es vraiment, enfin !"

Maintenant, quand je m'approche des gens, je sens se dégagrer d'eux comme une aura qui me renoie une image de ce qu'ils sont, non de ce qu'ils veulent être. La tienne est belle, prends-en soin. Je te souhaite de trouver la beauté que tu recherches ainsi que la vérité.

C'est l'anniversaire de Kakuro, aujourd'hui. Je vais lui offrir le livre que j'ai fini d'écrire et que je t'envoie à toi aussi, ma penseuse profonde.
Cela s'appelle l'Elégance du Hérisson.

En perspectives pour nos oreilles

Des albums de valeurs sûres sont annoncés pour les mois de mars et d'avril:
Francis Cabrel (ben oui, déjà!)
Liane Foly (album made by Arth Mengo. J'en attend beucoup!)
Je garde celui que j'attends le plus pour la fin :
Raphael. Dont, c'est sûr, on se souviendra encore dans 150 ans.
A suivre !

mardi 19 février 2008

La plus belle invention depuis le MP3

Etant passionné de musique, animant occasionnellemen des soirées privées, j'ai très tôt pensé aux énormes avantages que pourrait offrir l'ordinateur utilisé comme jukebox : plus de lourdes caisses de CD et de platines CD à transporter, le morceau qu'on veut instantanément sans avoir à se demander sur quel CD il se troouve et où donc il a bien pu passer, ce foutu CD! Sans compter que les CD, ça s'abîme vite!
Le MP3 et les premiers kogiciels de convertion de pistes de CD audio en fichiers MP3 ont permis cela, dès la fin des années 90. J'ai animé ma première soirée avec un ordinateur, sans aucun CD, en juillet 2000.
Concernant la qualité du son, il n'y a rien, je pense, qui distingue à l'oreille un CD audio d'un fichier MP3 bien encodé et une bonne carte son.
Mais il manquait queque chose :
Si vous avez et écoutez des MP3 provenant de diverses sources, je parie qu'il vous est très souvent arrivé de devoir augmenter le volume pour mieux jouir de cette chanson que vous aimez tant, et de sursauter violemment au début du morceau suivant qui tonitrue et vous casse les tympans.
Pour résoudre ce pooblème, j'utilise depuis quelques mois
MP3 Gain
MP3 gain égalise le volume sonore de tous les fichiers MP3 qu'on lui soumet. Au volume que vous lui indiquez. Par rapport à d'autres solutions, c'es son premier point fort. Son second, c'est qu'il ne se contente pas de mettre vos fichiers au volume sonore qu'on lui indique : il "sait" quand un fichier a besoin d'être un peu plus ou un peu moins fort que le degré de volume que vous lui avez donné pour q'uà l'oreille, le volume sonore soit effectivement le même d'un fichier, d'un genre de musique à l'autre.
Le résultat est incroyablement efficace.
Quel confort! ça change la vie!

samedi 16 février 2008

coup de coeur

Ce matin, j'ai entendu
ceci


Beaucoup de mes amis sont venus des nuages
Avec soleil et pluie comme simples bagages
Ils ont fait la saison des amitiés sincères
La plus belle saison des quatre de la terre
Ils ont cette douceur des plus beaux paysages
Et la fidélité des oiseaux de passage
Dans leurs cœurs est gravée une infinie tendresse
Mais parfois dans leurs yeux se glisse la tristesse
Alors, ils viennent se chauffer chez moi
Et toi aussi tu viendras
Tu pourras repartir au fin fond des nuages
Et de nouveau sourire à bien d'autres visages
Donner autour de toi un peu de ta tendresse
Lorsqu'un autre voudra te cacher sa tristesse
Comme l'on ne sait pas ce que la vie nous donne
Il se peut qu'à mon tour je ne sois plus personne
S'il me reste un ami qui vraiment me comprenne
J'oublierai à la fois mes larmes et mes peines
Alors, peut-être je viendrai chez toi
Chauffer mon cœur à ton bois

vendredi 15 février 2008

Mets la TSO

Les applications du wi-fi et du bluetooth n'ont pas fini de nous surprendre et de nous étonner.
Nos parents, nos grands-parents parlaient de la TSF (télégraphie sans fil) pour désigner la radio. Aujourd'hui, on pourrait parler de TSO pour télégraphie sans ondes. Enfin, presque sans ondes. Mais c'est toujours la radio.
De quoi s'agit-t-il?
D'appareils pourvus de hauts-parleurs, de boutons et potentiomètres et d'un petit écran. Comme nos bon vieux transistor. Sauf que ceux-là se connectent à votre réseau wi-fi et permettent de sélectionner et d'écouter les radios qui diffusent sur Internet. Soit des milliers de radios du monde entier.
Epatant, hein?
Allez donc faire un tour
ici
pour en savoir plus.
Et bonne écoute!

mardi 12 février 2008

le classique c'est pas chic

En lecture, je n'ai jamais aimé l'expression "classique".
Quand peut-on dire qu'un livre est "classique"? Quand on l'étudie à l'école? Alors, Daniel Pennac serait un "auteur classique". Si jamais le hasard veuille qu'il me lise ici (sait-on jamais), j'aimerais bien savoir quel effet ça lui ferait!
Pour moi, un "classique", c'est un synonyme d'incoutournable.
Qu'en pensez-vous?

Dernièrement, j'ai voulu me lancer dans
Les Mystères de Paris
de Eugène Sue, dont j'avais beaucoup entendu parler comme étant l'un des précurseurs du roman-feuilleton du 19ème siècle.
En ouvrant le livre, je pensais à Dumas, Zola, Verne ou Walter Scott, des auteurs que j'aime toujours lire et relire et dont j'ai encore tant à> découvrir!
Et bien, je me suis arrêté bien avant la fin!

Certes, l'ami gégène sait ménager son suspens! On sent qu'il va se passer quelquechose de "terrible". Mais il y a trop d'anticipations. On attend, on attend encore que cette chose terrible arrive. Mais elle ne vient pas. Et en attendant, L'histoire se traîne, traîne en longueur, dans des détails inintéressants. C'est vrai surtout avec les dialogues. Je veux bien que les "feuilletonnistes" étaient payés à la ligne écrite, mais on ne sent pas ça chez Dumas ou Zola, par exemple.

Donc voilà, c'est dit: c'est trop long, on finit par se lasser, parfois on perd le fil, on pense à autre chose.

Mais surtout, le style est pesant, si peu naturel à nous autres, lecteurs d'aujourd'hui. Et on mesure les changements profonds entre la littérature de 1842 et celle d'aujourd'hui et combien on a gagné en liberté d'expression.

Mon précédent essai avec la "littérature classique" avait été
Les Grandes Espérances
de Charles Dickens.
Oh, que de noirceur là-dedans! Et, je n'ai rien contre l 'emploi du subjonctif imparfait mais pas à trop fortes doses.
Celui-là aussi, je l'ai lâché.

N'aimerais-je plus que des lectures "faciles"?

Et vous, vos dernières lectures d'auteurs du 19me siècle ou avant, c'était bien? Quand, quoi?