C'est ma chanson préférée du grand Georges.
Un peu triste et amère, malgré tout. Mais pleine de tendresse, et de poésie. Une invitation au réveil de certains fantasmes, peut-être.
Mais surtout, une belle et touchante histoire.
Bien sûr, on peut ensuite avoir de ce texte une lecture plus approfondie, avec l'allégorie de l'orage et du tonnerre qui sont les moments de solitude de notre vie. Je préfère, quant à moi ne pas me hasarder dans ces interprétations...
A écouter et récouter. On ne s'en lasse pas.
Ecouter la Musique
"Dieu fass' que ma complainte aille, tambour battant
Lui parler de la pluie, lui parler du gros temps
Auxquels on a t'nu tête ensemble
Lui conter qu'un certain coup de foudre assassin
Dans le mill' de mon cœur a laissé le dessin
D'un' petit' fleur qui lui ressemble"
mercredi 4 mars 2009
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2 commentaires:
ma partie préférée c'est "je l'ai mise en lieu sûr entre mes bras câlins..."
j'aime énormément cette chanson aussi.
en digne fille du nord, de la pluie et de la grisaille, longtemps j'ai partagé l'avis de l'auteur sur "les pays imbéciles où jamais il ne pleut".
Mais là j'ai bien évolué ;-), le désert est d'une richesse inépuisable...
Mais quand même ... j'ajoute un petit haïku connu pour dire que j'aime les nuages, ce qu'ils renferment, ce qu'ils cachent et ce qu'ils protègent...
"De temps en temps les nuages
Nous reposent
De tant regarder la lune."
>Isa : Je te l'avais laissé, ce passage.
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